ENGAGEMENTS ESG

Une démarche volontaire

L’objectif principal de la Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD, directive (UE) 2022/2464 du 14 décembre 2022) est d’harmoniser le reporting de durabilité des entreprises et d’améliorer la disponibilité et la qualité des données ESG (environnementales, sociales et de gouvernance) publiées.

Dans le cadre de la rédaction du projet stratégique 2026-2030, le GPMB s’est engagé volontairement dans cette voie.

Sur la base d’un processus standardisé, le GPMB a défini 5 engagements ESG :

 → Décarboner les activités maritimes et portuaires

 → Assurer nos activités portuaires en intégrant le caractère limité des ressources

 → Appliquer une démarche durable dans les aménagements et les activités portuaires

 → Être une organisation attentive à la qualité de vie et aux conditions de travail

 → Assumer un rôle moteur sur les métiers et les missions du port d’aujourd’hui et de demain

Décarboner les activités maritimes et portuaires

Un engagement au cœur de notre projet stratégique 2026-2030

Réduire l’empreinte carbone et les impacts de nos activités dans un monde en transition n’est plus une option. Le Port de Bordeaux en a pleinement conscience.

Face à l’urgence climatique et environnementale, nous agissons.

Dans le cadre de notre projet stratégique 2026-2030, nous faisons de la transition écologique une priorité.

La décarbonation et la transformation de nos activités maritimes et portuaires s’inscrivent dans cet objectif, en cohérence avec les directives européennes et les attentes de notre territoire.

Pour y parvenir, nous agissons selon trois axes complémentaires : atténuation, adaptation et production d’énergie verte. Ce triptyque guide l’ensemble de nos décisions et se matérialise dans des projets concrets, sur le terrain.

Réduire nos émissions : des mesures déjà engagées

Nous avons entamé une démarche structurée pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre.

Nos efforts portent à la fois sur nos installations propres et sur l’ensemble de l’écosystème portuaire.

Quelques actions concrètes :

→ Moderniser nos pratiques : électrification progressive des équipements, optimisation énergétique des bâtiments et installations techniques.

→ Valoriser nos espaces naturels pour capter du CO₂ et progresser vers la neutralité carbone.

→ Soutenir les dynamiques locales, en partenariat avec nos partenaires industriels actuels et les porteurs de projets.

→ Contribuer à des démarches collectives, en rejoignant par exemple la Coopérative Carbone de La Rochelle pour mutualiser les efforts de compensation.

En réduisant notre empreinte, nous assumons notre responsabilité et agissons concrètement pour atténuer l’empreinte carbone liée à nos activités.

S’adapter au changement climatique : anticiper pour mieux protéger

Nous savons que les effets du changement climatique ne relèvent plus de l’hypothèse. Ils sont déjà visibles et impactent nos infrastructures, nos rythmes d’exploitation et notre environnement immédiat.

C’est pourquoi l’adaptation fait partie intégrante de notre stratégie de décarbonation.

Une étude de vulnérabilité a été actualisée pour dresser un état des lieux clair de notre exposition aux aléas climatiques.

Elle met en lumière plusieurs risques majeurs :

→ La submersion marine, notamment dans les zones basses du domaine portuaire, liée aux tempêtes et à la montée du niveau de la mer.

→ Les vagues de chaleur prolongées, qui affectent la santé des personnels, nos activités et la durabilité de certains matériaux.

→ Le retrait-gonflement des argiles, un phénomène qui fragilise les infrastructures, les bâtiments et les voiries.

→ La fréquence accrue d’événements extrêmes (orages, vents violents) susceptibles de perturber les opérations portuaires.

Forts de ce diagnostic, une première version du plan d’adaptation au changement climatique du GPMB a été élaborée.

 

Les actions définies sont regroupées en quatre catégories :

→ Sécuriser le fonctionnement du port, en lien avec son organisation et ses procédures

→ Sécuriser le patrimoine portuaire en l’adaptant ou en mettant en œuvre, dès à présent, un suivi particulier

→ Utiliser les espaces naturels du port comme support de solutions fondées sur la nature (expansion de crue, puit carbone…)

Sensibiliser l’écosystème portuaire et poursuivre les démarches prospectives (utilisation des jumeaux numériques du fleuve…).

Produire de l’énergie verte localement

En tant qu’acteur industriel disposant d’un important patrimoine foncier et immobilier, nous avons la capacité – et la responsabilité – de devenir producteur d’énergies renouvelables ou promoteurs par le biais d’appel d’offres.

Nos actions incluent :

→ Notre participation dans la construction d’un centre de valorisation énergétique des déchets d’activités et territoriaux en zone portuaire avec le projet CVE (opérationnel en 2026).

→ La construction d’une ferme solaire d’environ 40 MWc au Verdon, (projet porté par EDR Renouvelables et opérationnel en 2028).

→ La réalisation d’un parking poids-lourds en zone portuaire équipé d’ombrières photovoltaïques environ 3MWc (opérationnel en 2027).

→ Des appels à projets pour équiper nos bâtiments de panneaux photovoltaïques.

→ Notre implication dans le développement de l’éolien flottant offshore, en lien avec les autres ports de Nouvelle-Aquitaine dans le cadre de l’association Aquitania Ports Link. Nous collaborons avec les ports de La Rochelle, Rochefort et Bayonne pour proposer entre autres, le terminal du Verdon comme base logistique d’assemblage des flotteurs.

 

Ce positionnement renforce non seulement notre rôle de facilitateur industriel, mais contribue aussi à ancrer durablement une économie décarbonée dans notre région.

Nous construisons ainsi un modèle énergétique résilient, plus autonome, et porteur de valeur pour l’ensemble de la filière portuaire.

Assurer nos activités portuaires en intégrant le caractère limité des ressources

Dans un monde qui prend conscience de la limite de ses ressources, le Port de Bordeaux agit concrètement.

Foncier, énergie, eau, matériaux : rien n’est illimité.

Pour continuer à jouer notre rôle économique tout en respectant les équilibres environnementaux, nous faisons évoluer nos pratiques. Sobriété, réemploi, optimisation : place est faite à une gestion plus fine, plus responsable.

Réinvestir le foncier disponible avec intelligence

Le foncier portuaire dont la caractéristique première est de donner un accès à la mer est un bien rare.

Chaque parcelle disponible doit être valorisée au mieux, en limitant autant que possible l’artificialisation de nouveaux sols.

Cela passe par une logique d’aménagement sobre, qui privilégie les zones déjà aménagées et parfois délaissées.

Le site de Bacalan est un bel exemple de zone stratégique en pleine transformation. Le Port y accueille un incubateur de startups dans des bâtiments rénovés et souhaite y développer des aménagements dédiées, à la valorisation des savoirs, à l’accueil de savoir-faire d’exception et à la logistique urbaine pour irriguer le centre-ville.

Une vision agile et intermodale, tournée vers l’avenir. Des solutions qui permettent de faire plus et mieux… sans s’étendre.

Transformer nos friches en atouts

Là où d’autres voient des friches, nous voyons du potentiel !

Réhabiliter plutôt que construire ailleurs.

À Pauillac, par exemple, le poste 700 – un ancien appontement dédié à la logistique de l’Airbus A380 – a été remis à niveau pour accueillir l’activité de croisière. Un réemploi judicieux qui évite de construire un nouveau quai, tout en valorisant un site existant et en prévoyant l’avenir avec un projet de branchement à quai des navires

Ces exemples sont l’illustration de notre credo : ne plus partir d’une page blanche, mais s’appuyer dès que cela est possible, sur le déjà-là, avec créativité et pragmatisme.

Donner une seconde vie aux ouvrages et infrastructures

Dans la même volonté de profiter de l’existant ; nous cherchons à prolonger la durée de vie de nos équipements. Avant de remplacer, il s’agit d’analyser, de réparer, de transformer.

Qu’il s’agisse de bâtiments, de quais ou d’ouvrages techniques, chaque infrastructure est passée en revue pour évaluer son potentiel de réutilisation.

La remise à niveau du « slipway » (élévateur à bateaux) de Bacalan en est un exemple parfait. Un outil de mise au sec des bateaux dont les origines remontent aux années 50, est désormais l’un des équipements les plus utilisés de notre pôle naval, pour les besoins de la navigation sur le fleuve !

Moins de matériaux, moins de dépenses, moins d’impact : chaque projet vise l’efficacité sans concession sur l’environnement.

Vers un modèle plus sobre, plus agile et plus durable

Ce changement ne se limite pas à quelques opérations exemplaires. Il s’inscrit dans une transformation globale, à l’échelle de tout l’écosystème portuaire.

Désormais, l’aménagement de nos espaces se pense à travers le prisme de la sobriété foncière, énergétique et matérielle.

Le renouvellement perpétuel et l’agilité des aménagements de notre site portuaire de Bassens en est un exemple parlant. Il accueillait hier encore du charbon et des hydrocarbures et se remplit aujourd’hui de multiples matériaux de seconde vie issues des filières du recyclage et de bio-carburants.

C’est une autre manière d’exercer notre rôle d’aménageur : avec lucidité, dans le respect des ressources et des équilibres environnementaux.

Appliquer une démarche durable dans les aménagements et les activités portuaires

Ici, on construit, on répare, on transforme. Mais désormais, on le fait autrement. En intégrant l’environnement à chaque étape, en repensant nos façons de faire, en cherchant l’équilibre entre activité et responsabilité. C’est tout le sens de la démarche durable que nous appliquons à nos aménagements portuaires.

Dans nos chantiers navals, les opérations de démantèlement ou de réparation s’effectuent sous haute vigilance. Qualité de l’air, pollution des sols, protection des milieux : chaque risque est identifié, suivi et maîtrisé.

Limiter les nuisances, c’est respecter notre environnement immédiat

Le Port de Bordeaux évolue dans un écosystème complexe, composé d’usagers, de clients, de salariés, de riverains et de partenaires. Nuisances sonores, odeurs, rejets, trafic routier, etc. les impacts portuaires peuvent être multiples. Nous agissons pour en limiter les effets, en amont comme en aval. Des diagnostics sont menés, des capteurs installés, des dispositifs de traitement mis en œuvre. Et quand un incident survient, la recherche des causes et le retour d’expérience sont engagés sans délai.

Objectif : agir de manière exemplaire et prévenir plutôt que traiter. Progresser dans le dialogue et la transparence fait partie intégrante de notre démarche.

 

Éviter, réduire, compenser : une logique en trois temps

Au-delà de son caractère réglementaire sur certains de nos aménagements, c’est une règle que nous appliquons à chaque projet : commencer par limiter l’impact avant même de penser à le corriger.

Cette logique simple, mais exigeante, guide aujourd’hui nos choix d’aménagements.

Éviter, d’abord.

Cela signifie repenser l’implantation des projets, pour privilégier des zones déjà artificialisées, délaissées ou réhabilitées.

Avant d’utiliser un nouveau terrain, on se demande s’il existe une alternative plus sobre ou moins impactante.

Cette démarche nous pousse à revoir nos réflexes et à explorer de nouvelles solutions, parfois plus complexes, mais aussi plus vertueuses. Construire le port sur le port fait partie de nos réflexes fondamentaux.

Réduire, ensuite.

Quand l’impact est inévitable, nous cherchons à en limiter la portée. Cela passe par le choix des matériaux, des procédés de construction plus propres, une meilleure gestion des eaux usées, un calendrier de travaux adapté ou encore des dispositifs de réduction du bruit ou de captation des polluants.

Chaque détail compte, chaque métier est concerné.

Engager notre écosystème dans la transition écologique est un de nos axes stratégiques majeurs.

Compenser, enfin.

Lorsque nécessaire, nous mettons en œuvre des actions de restauration ou de préservation écologique.

Cela peut prendre la forme d’aménagements pour les espèces protégées, de replantations ou de mesures pour recréer des zones humides ou des corridors écologiques.

L’idée n’est pas de « compenser pour se dédouaner », mais de contribuer concrètement à l’équilibre du territoire et obtenir un gain écologique, de meilleures fonctionnalités des milieux dans le cadre des projets d’aménagement.

Penser notre environnement comme un actif à préserver et à valoriser permet de refonder notre démarche d’aménagement sur de nouvelles bases durables.

Ce triptyque — éviter, réduire, compenser — marque une véritable évolution dans notre façon de concevoir le développement portuaire.

Construire « juste » devient une règle de conduite pour nos aménagements.

 

Des équipements sobres, conçus pour demain

Construire, c’est aussi anticiper. Nos nouveaux bâtiments sont pensés pour durer, pour s’adapter, pour consommer peu. Isolation, énergie, gestion de l’eau, recyclabilité : la performance environnementale devient un critère central.

Chaque nouveau projet est une opportunité : d’innover, de coopérer, de prouver qu’un autre modèle est possible.

 

Faire du port un acteur responsable de son territoire

Nous ne nous contentons pas de respecter les normes. Nous voulons montrer la voie, avec des pratiques exemplaires. Cela passe par des engagements concrets, mais aussi par une culture d’entreprise partagée.

Tous les métiers sont concernés, du terrain aux bureaux en passant par les ateliers et la navigation. Agir en ayant conscience de nos impacts et en conservant la ligne de nos missions font partie de cette culture commune.

Agir durablement, c’est d’abord une question de cohérence. Et c’est cette cohérence qui, jour après jour, transforme notre port, ses salariés et toutes les parties prenantes en acteurs engagé dans la transition.

Être une organisation attentive à la qualité de vie et aux conditions de travail dans l’environnement portuaire

Sur un port, l’activité ne s’interrompt jamais vraiment. Elle mobilise en continu des femmes et des hommes, dans des conditions parfois exigeantes. Dans ce contexte, protéger la qualité de vie et du travail doit se traduire par un engagement concret et quotidien.

Au Port de Bordeaux, nous avons la conviction qu’un cadre de travail sain, sûr et respectueux profite à tous : salariés du port, entreprises partenaires et riverains.

Parce qu’on ne construit pas un port durable sans prendre soin de celles et ceux qui y cohabitent.

Travailler en sécurité, c’est travailler sereinement

Avant toute chose, il y a la sécurité.

Travailler sur un site portuaire, c’est évoluer dans un environnement technique complexe où cohabitent engins, navires, camions et personnels.

Il est indispensable que les risques soient anticipés, les consignes bien comprises et les équipements adaptés.

En plus de nos obligations réglementaires nous engageons depuis plusieurs années des sessions de formation, des exercices, des points d’arrêt et des retours d’expérience, soutenant ainsi une culture de l’alerte et de l’amélioration continue.

Notre objectif est clair : réduire les accidents et renforcer la confiance de chacun dans l’espace portuaire.

Favoriser l’esprit d’équipage à tous les niveaux

Être attentif aux conditions de travail, c’est aussi veiller à la cohésion humaine et à l’envie de faire ensemble.

Nous veillons à créer un environnement où chacun peut s’exprimer, être entendu et trouver sa place dans le collectif.

Cela passe par le développement de démarches internes autour de la qualité de vie au travail :

Prévention des risques psychosociaux

Accompagnement des transitions professionnelles

Dialogue avec les représentants du personnel

Reconnaissance des réussites

・Moments de convivialité partagés entre équipes.

Limiter les nuisances : agir avec attention pour respecter notre voisinage

Le port est un lieu d’échanges, de flux et de mouvement.

Nous sommes conscients de notre responsabilité envers ceux qui vivent ou travaillent à proximité de nos sites. Il nous incombe de limiter les nuisances envers tous nos publics.

C’est pourquoi nous agissons concrètement pour expliquer ce que l’on fait et réduire notre impact :

・Surveillance des émissions sonores sur les sites sensibles

・Surveillance de la qualité de l’air

・Adaptation des horaires pour les activités les plus sensibles

・Aménagements paysagers et protection de la faune et de la flore

・Gestion raisonnée du trafic routier en lien avec les collectivités.

Ces actions ne sont ni figées, ni exhaustives. Elles évoluent avec les besoins du territoire, les retours des habitants, des élus et les innovations techniques.

Être un bon voisin, c’est être un acteur attentif, à l’écoute et réactif.

Entretenir le dialogue avec nos voisins et construire une société de l’attention

Écouter, expliquer, prendre soin : c’est ainsi que nous concevons nos relations avec les habitants des territoires portuaires.

Un port ne peut vivre replié sur lui-même. Il est intrinsèquement le symbole de l’échange. Il gagne à être ouvert, lisible et respectueux de celles et ceux qui l’entourent.

Depuis plusieurs années, nous avons mis en place des espaces de dialogue : réunions publiques, visites de site, ateliers de concertation et plus récemment un Port Center : Le Pavillon.

Des formats variés, pour que la parole circule et que chacun se sente considéré.

Ce lien humain est essentiel. Il permet de faire connaître nos activités, nos projets et nos contraintes.

Mais surtout, il nous aide à mieux comprendre les attentes locales et à adapter nos pratiques de manière concrète.

Un port qui prend soin de son environnement direct, c’est un port qui s’inscrit durablement dans son territoire.

Assumer un rôle moteur sur les métiers et les missions du port d’aujourd’hui et de demain

Le Port de Bordeaux au travers de ses compétences et de ses missions, se doit d’assumer pleinement un rôle de force motrice, au service du territoire et de l’ecosystème portuaire.

Notre ambition → entraîner dans notre sillage tous les acteurs économiques et institutionnels, en portant des projets :

・structurants : pour renforcer l’attractivité de la région

・durables : en phase avec les grandes transitions écologiques et industrielles

・partagés : construits en lien avec les collectivités et les usagers

・visibles : pour valoriser les savoir-faire et développer « le réflexe port »

La méthode se veut à la fois ouverte, lucide et ambitieuse, toujours alignée avec nos cœurs de métiers et notre utilité publique.

Tenir le cap et partager l’élan

Notre champ d’action est réglementairement défini. C’est dans ce cadre que nous déployons pleinement nos compétences.

Là où nous sommes légitimes, nous devons exercer un rôle moteur assumé :

・sur l’aménagement du foncier portuaire

・sur l’entretien du chenal et l’accueil des navires

・sur l’exploitation des infrastructures

・sur l’accompagnement des entreprises de la place portuaire

・sur l’innovation au service de nos activités

Ce rôle se construit, s’adapte et s’enrichit dans la durée, avec méthode et respect des rôles de chacun.

Ne pas chercher à tout faire, mais créer les conditions pour que les autres puissent agir et prendre le relai pour aller plus loin.

Fédérer, accompagner, entraîner

Être un port responsable, c’est donc être un moteur du collectif.

Jouer un rôle de catalyseur dans les dynamiques locales, en initiant des démarches, en fédérant les entreprises, les collectivités et les institutions.

Cela peut prendre la forme d’un soutien à des projets industriels innovants, comme l’implantation d’activités liées aux énergies renouvelables, au numérique ou aux biocarburants.

Ou encore d’une prise de parole active dans les instances de gouvernance régionales et nationales pour faire entendre la voix des acteurs de la mer et du fleuve

Quand c’est nécessaire, nous sommes prêts à être lanceur, financeur ou facilitateur.

Nous assumons ce rôle moteur, dans notre champ de compétence et d’y exercer pleinement nos savoir-faire.

L’initiative de la création de l’association Bees-ZIP pour la décarbonation de la zone industrialo-portuaire en 2024 est l’un des symboles forts de cette démarche.

Faire renaître un “réflexe port”

Trop souvent encore, le port, ses missions, ses compétences restent méconnues.

Ses métiers, ses outils, ses services sont peu visibles.

Notre ambition : faire en sorte qu’à chaque question de transport, de logistique, de production, d’aménagement ou d’énergie la réponse “port” devienne un réflexe.

→ Vous devez acheminer une marchandise ?

→ Vous avez une grue endommagée, un navire à réparer ?

→ Vous cherchez un espace à aménager ?

→ Vous développez un projet bas carbone, une solution numérique ou un service à forte valeur ajoutée sur le territoire ?

Pensez Port de Bordeaux.

Créer ce réflexe contribue à valoriser nos expertises, mais aussi à faire connaître notre rôle en faveur du développement durable du territoire.

Créer ce réflexe, c’est aussi lever les freins, changer les perceptions et rendre le port visible, lisible et attractif.

Piloter, c’est donner du sens

Cela signifie tracer une voie crédible, lisible et partagée, en cohérence avec nos missions et nos engagements.

Nous avons les outils, les savoir-faire, l’ancrage territorial pour être un moteur de cette transformation.

C’est cette posture que nous cultivons : un port qui éclaire, qui relie et qui agit, dans le respect de ses responsabilités. C’est la raison pour laquelle le port s’est engagé volontairement dans la prise en compte de ses impacts pour la mise en œuvre de sa stratégie, au travers de la démarche CSRD, en application de la directive européenne (UE) 2022/2464 et de sa déclinaison dans la loi française.

Un port tourné vers l’avenir, qui fait de la transition un levier de développement collectif.